Bienvenue dans l’ère OLA : rapide, stable, rentable.

Qu’est-ce que la technologie OLA ?

OLA est une solution de polissage plasma pour le Chrome-Cobalt ET le Titane.
Elle s’appuie un procédé basé sur électricité + eau chauffée + sel permettant d’obtenir un rendu miroir en 9 à 15 minutes, sans intervention manuelle complexe.

 

Pourquoi le polissage plasma intéresse autant les laboratoires ?

Parce qu’il répond aux limites de méthode traditionnelle :
➡️ cycles trop longs,
➡️ résultats parfois irréguliers,
➡️ dépendance à l’expérience de l’opérateur

Avec OLA, le rendu devient stable, homogène et surtout prévisible : un vrai confort dans un flux de production.

 

 

Combien de cycles puis-je faire avec un kg de consommable ?

C’est la question la plus fréquente, et c’est là que la solution devient très compétitive.

  • Sur OLA M et XL : environ 400 châssis par kg pour un coût unitaire de 25 centimes par châssis

  • Sur OLA S : environ 150 châssis par kg revient à un coût unitaire 65 centimes par châssis

Un coût consommable d’environ 100 €, là où certaines alternatives du marché tournent autour de 1 200 € pour moins de volume.

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Le résultat est-il comparable au polissage mécanique ou électrolytique ?

Oui et avec une régularité supérieur !
Le plasma offre une couverture 360°, limitant les zones oubliées ou les micro-irrégularités souvent visibles avec un polissage est manuel.

Sur quels matériaux OLA fonctionne-t-elle ?

Deux matériaux :

  • Chrome-Cobalt,

  • Titane.

Le tout sur une seule machine, ce qui distingue OLA de certaines solutions sont limitées au Chrome-Cobalt uniquement

En quoi OLA se différencie des autres solutions du marché ?

Le coût : jusqu’à 15 fois moins cher en consommable.
La compatibilité : Chrome-Co + Titane.
Le volume : 2 à 12 châssis selon la machine.
Le prix machine : jusqu’à 12 500 € moins cher que certaines solutions plasma
La constance du rendu, cycle après cycle.

Combien de châssis par cycle selon la taille de machine ?

  • OLA S → 2 à 3 châssis

  • OLA M → 9 châssis

  • OLA XL → 12 châssis (avec 2 bacs : Chrome-Co & Titane)

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Le résultat est-il comparable au polissage mécanique ou électrolytique ?

Oui et avec une régularité supérieur !
Le plasma offre une couverture 360°, limitant les zones oubliées ou les micro-irrégularités souvent visibles avec un polissage est manuel.

Sur quels matériaux OLA fonctionne-t-elle ?

Deux matériaux :

  • Chrome-Cobalt,

  • Titane.

Le tout sur une seule machine, ce qui distingue OLA de certaines solutions sont limitées au Chrome-Cobalt uniquement

En quoi OLA se différencie des autres solutions du marché ?

Le coût consommable jusqu’à 15 fois moins cher en consommable.
La compatibilité : Chrome-Co + Titane.
Le volume : 2 à 12 châssis selon la machine.
Jusqu’à 12 000 € moins cher que certaines solutions plasma
Le rendu constant, cycle après cycle.

Combien de châssis par cycle selon la taille de machine ?

  • OLA S → 2 à 3 châssis

  • OLA M → 9 châssis

  • OLA XL → 12 châssis (avec 2 bacs : Chrome-Co & Titane)

Est-ce qu’il y a des risques d’érosion comme avec certains systèmes électrolytiques ?

Non.
Le process OLA n’entraîne aucune érosion sur les pièces, même sur les zones fines ou sensibles, d’après les tests réalisés et les retours terrain

Est-ce que je peux continuer à utiliser une Dylite si j’en ai déjà une ?

Oui — et certains laboratoires obtiennent d’excellents résultats en mode hybride :

1. Pré-polissage OLA brut à poli (9 min)

2. Finition Dylite brillance (15 min)

Résultat :

  • 25 minutes au lieu d’1 heure en Dylite seule,

  • consommable divisé par 10,

  • bains plus durables,

  • et une Dylite “redevenue utile” au lieu de rester au repos

En résumé, qui a intérêt à passer sur OLA ?

  • Les labos qui veulent stabiliser leur qualité de polissage.

  • Ceux qui veulent réduire les coûts consommables.

  • Ceux qui travaillent beaucoup en Chrome-Co et/ou Titane.

  • Ceux qui veulent un process simple, constant et moderne.

  • Et tous ceux qui veulent réduire le temps passé à cette étape sans perdre en précision.

OLA ne remplace pas un savoir-faire : elle fiabilise une étape souvent perçue comme instable ou chronophage.